L’Université Notre-Dame de Lomami (UNILO) a inscrit une page mémorable de son histoire, écrite en lettres d’or, gravée dans le marbre et immortalisée dans les annales académiques, avec la brillante réussite de Jean-Baptiste Lukusha, premier représentant des peuples autochtones à décrocher une licence en droit au sein de cette institution.
Lors d’une cérémonie empreinte d’émotion, le Recteur, l’Abbé Professeur Richard Kitengie Muembo, figure à la stature monumentale, a pris la parole. Colonne d’érudition et bastion de dignité humaine, il s’est exprimé comme un phare éclairant les consciences, comme un bouclier protégeant les exclus et comme un architecte d’avenir pour toutes les catégories sociales.
« Le passage de Jean-Baptiste dans notre université revêt une valeur particulière. Il a assumé une mission et l’a accomplie avec détermination. Aujourd’hui, il est un leader qui ouvre la voie à d’autres frères et sœurs autochtones », a déclaré le Recteur, dont les mots résonnaient comme une proclamation gravée à jamais dans l’histoire de l’UNILO.
Au nom du comité de gestion et de toute la communauté universitaire, l’Abbé Professeur Richard Kitengie Muembo a présenté ses vives félicitations à l’heureux licencié :
« Jean-Baptiste fait désormais partie intégrante de notre grande famille universitaire. Son parcours ouvre la porte à d’autres jeunes autochtones qui souhaiteront poursuivre des études ici. L’UNILO prend l’engagement ferme de soutenir leur formation et de promouvoir l’égalité pour tous, contre toute discrimination. »
En réponse, Jean-Baptiste Lukusha a tenu à exprimer sa gratitude dans des mots simples mais puissants, qui sonnaient comme une confession solennelle :
« Nous remercions l’institution dans son ensemble pour le temps, le soutien et l’attention particulière dont nous avons bénéficié. Comme chacun le sait, le peuple autochtone a longtemps été oublié dans les projets de l’État comme dans ceux des organisations internationales. Mais aujourd’hui, grâce à votre appui, nous avons eu accès aux études universitaires, et cela nous ne pouvons l’ignorer. »
Le nouveau licencié en droit a également présenté son mémoire de fin d’études intitulé : « Protection et promotion des droits des peuples autochtones : effectivité et perspectives ». Plus qu’un travail académique, ce mémoire se dresse comme une stèle de savoir, une charte d’espérance et un manifeste gravé pour l’avenir de sa communauté.
Ainsi, cette réussite, au-delà de l’exploit individuel, s’élève comme un signal lumineux, une torche enflammée par l’UNILO pour proclamer son ouverture à la diversité, sa détermination à combattre toute discrimination et sa volonté d’être un champion éternel de la dignité humaine et de l’inclusion.
Et désormais, l’histoire retiendra que l’UNILO, par la vision et la stature monumentale de l’Abbé Professeur Richard Kitengie Muembo, a été le berceau d’un nouveau chapitre pour les peuples autochtones, écrit en lettres d’or dans le grand livre de l’humanité.
Ezaboto Yombue
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