Tel un vent de clémence au cœur du recouvrement forcé, un souffle d’opportunité vient de se lever pour les contribuables du domaine de Transport et Voies de communication dans la ville de Kabinda. Sur instruction de Son Excellence Maître Iron Van KALOMBO MUSOKO, Gouverneur de la Province de Lomami, un délai gracieux de 4 jours est accordé à tous les assujettis afin de s’acquitter de leurs obligations fiscales sans pénalités.
Comme un soleil qui perce les nuages, cette mesure exceptionnelle vise à donner une chance à chacun de régulariser sa situation, dans un esprit de civisme et de responsabilité. Le calendrier est clair : du lundi 15 au jeudi 18 septembre 2025, les portes du Bureau de l’Antenne DGRLO/Ville de Kabinda resteront ouvertes à ceux qui veulent honorer leur engagement citoyen.
Sous la houlette de son Chef d’antenne, Monsieur David KABUMBULA BUKULE, surnommé le « bulldozer » de la fiscalité Lomamienne, la DGRLO/Ville de Kabinda s’illustre comme une machine de guerre contre la fraude et la résistance fiscale. Son style est clair : canaliser les recettes comme un ingénieur qui dirige un fleuve, mobiliser les contribuables comme un général rassemble ses troupes, et maximiser les ressources comme un cultivateur récolte chaque épi de son champ.
« Ne pas payer ses impôts, c’est fermer soi-même la porte de son propre développement », martèle l’administration fiscale. Car, chacun le sait, l’impôt est le carburant de l’État et le ciment du progrès collectif. Chaque taxe réglée est une graine semée dans le champ du bien commun, chaque quittance délivrée une pierre posée à l’édifice de la province.
Mais, attention ! Ce répit n’est qu’un sursis. Au-delà du 18 septembre, le recouvrement forcé reprendra son cours avec pénalités. L’horloge fiscale ne s’arrête pas, et la discipline citoyenne reste la clé de la prospérité.
Dans son appel à la conscience collective, le « bulldozer » de la DGRLO Kabinda résume la philosophie de son action :
« L’impôt n’est pas une ponction, mais une contribution. Il est la clé qui ouvre les portes du développement de notre province. »
Ainsi, à Kabinda, la fiscalité n’est plus une corvée, mais une arme de développement. Chaque contribuable qui paie devient un soldat de la croissance, et chaque franc versé un pas de plus vers la victoire commune.
Ezaboto YOMBUE
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